ROYALES : une autre histoire des femmes
Et Vogue leur image…
Depuis plus d'un siècle, l'édition britannique du magazine Vogue entretient des liens privilégiés, uniques, avec la Couronne de Grande-Bretagne. Les femmes de la famille royale ont toutes, un jour ou l'autre, posé pour ses photographes.

Les choses de la vie : quand la Cour de France préparait ses princesses et ses princes au mariage
Spécialiste de l’éducation des Enfants de France aux XVIIe et XVIIIe siècles, l’historienne Pascale Mormiche raconte le difficile éveil à la vie conjugale de princesses et de futurs rois à qui rien n’a été appris de l’amour.

Charlotte, la princesse morte en couches dont la disparition a changé la vie des femmes
Le 6 novembre 1817, la princesse Charlotte de Galles, l'héritière du trône adorée de tout un pays, meurt en couches après avoir donné naissance à un petit garçon mort-né. Vécue comme une tragédie nationale, sa disparition va provoquer une remise en question de la pratique de l'obstétrique, en Grande-Bretagne et dans plusieurs autres pays d'Europe.

Écoutez leur histoire : Michiko et Akihito du Japon, un amour déguisé en mariage arrangé
Le 19 août 1957, le prince Akihito fait la connaissance de Michiko Shoda à l'occasion d'un tournoi de tennis. Au Japon, la tradition exige d'un héritier du trône qu'il contracte un mariage arrangé. Mais la beauté, l'intelligence et la sensibilité de Michiko bouleversent le futur empereur…

Le vêtement royal en Grande-Bretagne : « Une capacité mystérieuse à provoquer l’admiration »
Si le vêtement féminin est considéré comme un outil de relations publiques dans la plupart des familles régnantes, il l'est plus que partout ailleurs en Grande-Bretagne où les reines en font depuis toujours un instrument de communication au service de la couronne. Et de l'image qu'elles souhaitent laisser à la postérité.

La reine Elizabeth Ire, le rouge à lèvres et la loi
Au XVIe siècle, Elizabeth Ire use de sa féminité pour donner de sa personne et de son règne une image spectaculaire. Dans une Angleterre en plein essor économique où l'esprit de la Renaissance inspire de nouvelles quêtes esthétiques, l'usage du rouge à lèvres se développe et la reine en fait bientôt une consommation immodérée.

« J’aurais préféré être une bergère » : Victoria, une reine (déjà) à l’épreuve de la notoriété et des médias
Juillet 1839. Victoria a été couronnée il y a un peu plus d’un an. Après un siècle de règnes masculins, la Grande-Bretagne, éblouie, se découvre un monarque au physique de poupée, une petite fée de vingt ans, gracieuse, énergique et jolie. Augmentée de manière considérable grâce à une offre sans cesse croissante de journaux et de supports imprimés, la visibilité de Victoria, souveraine nouvellement « médiatique », provoque un engouement sans précédent. Un phénomène qui va transformer l’exercice monarchique en profondeur. Et pour longtemps.
